![](https://zupimages.net/up/23/20/ukjp.jpg)
Age
33 ans
Genre
Masculin
Origine
BlissTown
Métier
Agent immobilier spécialisé dans les biens de luxe
Allégeance
Aucune
Relation au Bliss
Neutre
Résumé
Il est le fils du milieu, celui coincé entre une grande sœur et une petite sœur. Né dans une famille ni riche, ni pauvre, mais dans la norme. Pas plus intelligent qu’un autre mais pas plus bête. La norme. Pas plus beau ni plus laid qu’un autre. La norme. Avec des amis, des amours et des emmerdes. La norme. Tout aurait pu être normal dans sa vie. Oui mais voilà : la normalité s’appelle Daniel.
Lui, ses parents se sont plantés à l’état civil. Son père plus exactement, officiellement trop dans l’euphorie de la naissance de ce fils tant désiré. Vérité ou simple arrangement familial ? Le paternel emportera ce secret dans la tombe. Dariel ne porte pas le prénom de la normalité. Pour cette petite lettre changée, l’Univers a fait de sa vie une longue suite d'événements plus ou moins bizarres, paranormaux et drôles très souvent dont il se serait bien passé. Charmes et amulettes n’y changent rien, après tout qui est-il pour tenter d’interférer avec le Grand Tout ?
Silhouette
1.86m, athlétique, carré
Peau
Claire, tendance à bronzer facilement
Cheveux
Bruns, souples et soyeux
Yeux
Des yeux brun clair tirant un peu sur le doré, fenêtre ouverte sur toutes ses émotions.
Signes distinctifs
Une barbe toujours entretenue, des vêtements toujours bien choisis (il n'y a que chez lui qu'il traîne habillé n'importe comment), un corps dont il prend soin. Mais à part ces détails pas très intéressants il ressemble à monsieur tout le monde.
Trivia
Très superstitieux, trop superstitieux. Beaucoup de ses croyances complètement débiles (oui il sait qu’elles sont débiles merci) lui viennent de sa grand-mère. Il lui en veut un tout petit peu pour ça.
De base très logique. Pour lui chaque chose un peu étrange qui se produit a une explication logique et scientifique, même le Bliss (il se rassure comme ça)
S’endort souvent devant de vieux films ou films d’animation et même devant les vieux cartoons.
Ne tient pas du tout l’alcool et de fait boit très peu.
Adore lire. Il fait aussi souvent semblant de lire pour ne pas qu’on le dérange. S’il abat sa carte piège “écouteur combo livre” c’est fichu, il ne vous écoute pas.
Capable de dépenser sans compter lorsqu’il craque pour quelque chose.
Fait beaucoup de sport.
Aussi aimable et sociable à l'extérieur qu'il est bourru et sauvage à l’intérieur : sa maison c’est sa grotte, personne n’y rentre ! Il déteste recevoir. Son chez lui c’est son havre de paix, hors de question que le premier malandrin venu y pose un orteil.
Vie amou quoi ? Ah non merci, l’addition ça suffira. Et en règle général il est plutôt discret sur sa vie personnelle.
Ne se rase jamais totalement (il ressemble à un gamin sinon) mais entretien sa barbe. Dans l’ensemble il est même plutôt soigneux de son apparence (ça fait vendre)
Fait plus vieux que son âge et n’assume pas trop
A toujours beaucoup d’histoires à raconter parce qu’il lui arrive toujours quelque chose (pas impossible qu’il surjoue sur certains éléments parfois)
N’utilise les réseaux sociaux qu’à des fins professionnelles. Aucune info sur lui ne traîne, aucun compte d’aucun réseau, et ça c’est suspect (en vrai il a juste la flemme et il ne posterait que des photos de Charlotte, parce qu’il n’a QUE des photos de Charlotte)
Sa famille l'appelle "Dany" pour la blague, en référence au fait que son père se soit trompé de prénom à l'état civil
Peurs
Les fantômes, esprits et autres manifestations paranormales
Pas franchement serein avec les enfants (ce sont toujours les pires dans les films d’horreur)
Perdre ses proches, il n’a jamais été confronté à la mort
La coupe de cheveux très étrange d’un des glaciers de Providence Park le met mal à l’aise. Une fois il a fait un cauchemar où ces cheveux verts ont essayé de le tuer. Depuis il l’évite.
Que Charlotte l’abandonne pour un autre humain
Fiertés
Il a battu sa sœur (championne d’athlétisme) à la course une fois. Ce qui porte le total à 1 victoire pour 647 défaites.
Sa toute première vente immobilière.
A vaincu sa peur irrationnelle des chats noirs (merci mamie pour cette superstition stupide !), ce qui lui laisse bon espoir pour la suite
Objectif(s)
Aucun
Réputation & rumeurs
Sa réputation professionnelle n’est plus à faire : Dariel satisfait tous ses clients, surtout les plus exigeants. Dariel réalise vos rêves les plus fous du moment que vous avez les moyens de vous les payer. Il se raconte qu’on lui aurait même proposé de créer sa propre émission, croisement entre téléréalité et visites d’appartements luxueux ou villas de rêve. Mais il aurait refusé. Ce genre de notoriété il n’en veut pas.
Une obscure rumeur veut qu’il aurait été surpris en pleine partie de jambe en l’air avec une cliente lors d’une visite d’appartement. L’intéressé dément fermement. “Commérages infondés de rivaux jaloux” selon ses dires.
En une anecdote
“C’était cette fameuse nuit d’automne. Celle pendant laquelle, selon les légendes, les défunts revenaient hanter les vivants. Celle où mieux valait ne pas traîner dehors passée une certaine heure. Oh de nos jours on se moquait de cette vieille superstition. On lui faisait des pieds de nez même, laissant enfants et jeunes adultes sortir déguisés en quêtes de sucreries. Et gare à celui ou celle qui n’honorerait pas l'offrande voulue par ces malignes créatures ! Le malheureux subirait alors leur courroux : objets volés, jardin saccagé, maison ornementée d’un papier toilette à la senteur fleurie. Cette nuit-là plus que celle des années précédentes, la pluie déversait sur la ville des torrents d’eau glacée et l’orage menaçait. Ses grondements faisaient trembler la terre, ses éclairs zébraient le ciel. Les ombres prenaient des allures de monstres aux dents acérées. Un homme seul bravait les éléments, son parapluie tordu par les bourrasques de vent. Il se hâtait de rejoindre son immeuble et son appartement, la chaleur de son foyer, la douceur d’une serviette tiède avec laquelle se sécher. Mais alors qu’il approchait enfin de sa destination, alors que son pied entamait l’ascension d’une volée de marche, un cri pareil à nul autre le figea. L’homme en appela à tout son courage et se retourna, ses yeux essayant en vain de percer les ténèbres de la ruelle en face. Le cri se fit entendre à nouveau, pressant, déchirant, mélange d’appel à l’aide et de menace de mort. Pour peu que lui servirait encore son parapluie il le pointa en avant, arme de fortune. La pluie s'était figée, ses gouttes en suspension dans l’air chargé en électricité. L’homme fit un pas vers la ruelle, puis un autre. Pour la troisième fois le cri lui glaça les entrailles. Quelle folie ! Il devait fuir ! Et alors qu’il allait prendre ses jambes à son cou, il la vit. Petite, noire et toute mouillée, à peine capable de marcher, l’eau du caniveau menaça de l’emporter et de la noyer. Alors l’homme lâcha son parapluie. En quelques enjambées il fut à sa portée et la sauva des eaux et de son funeste destin. Il se hâta de rentrer au chaud, au sec. Il déposa la boule de poil emmitouflée dans une serviette sur la table basse. Elle était si mignonne avec ses longs poils ébouriffés et ses grands yeux encore bleus propres aux jeunes chats. Tous deux se regardèrent. La petite chose miaula, affamée. A l’instar des vampires, elle s’était faite invitée dans la maison de sa victime, pour ne plus jamais en ressortir. Fin.”
“Elle est trop nulle ton histoire Dany.”
“C’est parce que t’as aucun goût. Pas vrai Charlotte ?”
Charlotte ouvrit les yeux, à présent d’un vert pâle parfaitement assorti au noir de sa fourrure, et bâilla longuement avant de reposer la tête sur ses pattes.Véritable chat ou créature surnaturelle à l’apparence innocemment féline ? Nul ne saura jamais.
Situation actuelle
Dariel vit confortablement en tant qu’agent immobilier spécialisé dans les biens de luxe. Il est à son compte et se fait connaître par le bouche à oreille et quelques cartes de visite judicieusement distribuées. Son carnet d’adresse bien fourni et son sourire à l’épreuve des prix les plus mirobolants font le reste.
Loin d’être un flambeur et accroc du tape à l’oeil, il s’est tout de même octroyé un splendide appartement avec terrasse et vue sur Providence Park où il habite en colocation avec Charlotte : magnifique angora noir. Hormis son altération (et ces choses bizarres qui n’arrivent qu’à lui) dont il se passerait bien, sa vie est plutôt tranquille jusqu’à maintenant.
Avec le temps il a remarqué que son altération ne se manifeste pas partout, et pas de la même façon. Dans les lieux publics elle est une toile de fond à peine perceptible, parce que des milliers de gens vont et viennent au quotidien et que tout se mélange en un amas totalement indistinct. Mais dans les logements, dans les lieux plus intimes, là où on vit vraiment caché des yeux de tous, les souvenirs sont plus forts. Ils se manifestent systématiquement à chaque visite d’appartement ou de maison, ou dans certains lieux comme les chambres d’hôtel ou même les cabines d’essayage (à vous qui vous envoyez en l’air dans ce genre d’endroit, Dariel vous déteste). Il peut arriver que les souvenirs soient accrochés à des objets ou des personnes, mais le plus souvent ils sont liés à un lieu.
Dariel réagit bien trop souvent à ces souvenirs. Il lui arrive fréquemment d’adopter quelques instants, le temps que le souvenir s’estompe, la même émotion que celle qu’il perçoit. Ca donne des scènes parfois incroyables. Il s’est déjà retrouvé à pleurer lors d’une visite ! Il le vit d’autant plus mal que son esprit cartésien est mis à mal par son altération au quotidien et par le Bliss en général.
Il évite soigneusement tout ce qui touche au Bliss car il y est particulièrement sensible. Lorsque les Vagues sont trop fortes son altération devient totalement incontrôlable et tous les souvenirs de l’endroit où il se trouve l’assaillent. Il perd alors complètement pied avec la réalité. Dans la mesure du possible il essaie d’être chez lui quand ça arrive. Et c’est aussi pour cela qu’il déteste recevoir quiconque dans sa maison, pour ne pas y créer de potentiels souvenirs imprégnés des émotions d’autrui. Heureusement, même si c’est désagréable, ce n’est jamais dangereux. Il n’a jamais rien subi de pire qu’un épuisement et une migraine carabinée, pour l’instant.
Une amie a lâché le lien sur Discord, comme ça sans prévenir ! J'ai cliqué et pouf, me voilà